Emilie Vulliet
Graphiste
Pur produit du terroir, Emilie est née à Genève, ce qui ne l’empêche pas de parler 4 langues (français, anglais, italien et allemand). Passionnée par la création et plutôt perfectionniste, elle est une grande rêveuse (et globe-trotteuse), mais surtout la première à rigoler.
Tékitoi ?
Je suis arrivée dans l’équipe 3 mois après avoir obtenu un Bachelor en Direction Artistique à Genève. Que du bonheur en ce qui concerne la vie d’agence et le métier. Ce qui m’a dirigée dans cette voie ? L’amour des belles choses. J’adore créer des univers spécifiques, travailler en team et faire évoluer un projet jusqu’à ce qu’il ressemble à ce que l’on avait imaginé.
La communication est un métier qui ne cesse d’évoluer, il faut être curieux et ne jamais s’arrêter d’apprendre, et c’est justement ce qui me plaît. J’adore les nouveaux défis, toucher à tout, trouver des solutions et des idées pour les clients, et, bien-sûr, j’aime le contact avec les gens.
Sinon, côté perso, je profite au max de la vie, je ne m’arrête jamais (sauf de temps en temps pour regarder une petite série, merci Netflix !)
Si tu devais définir le style EtienneEtienne ?
Une super équipe avec laquelle on partage du rire, des folies et évidemment aussi un peu de travail (il faut bien 😜). Plus sérieusement, c’est une super agence, toujours compréhensive et disponible pour le client. Ce qui me plaît particulièrement, c’est l’aspect humain que l’on y trouve, en plus de celui professionnel.
Au niveau des clients et des projets, c’est le top, super variés, passionnants et toujours sympathiques.
Ce qui est bien avec une agence hybride, c’est qu’on ne se lasse jamais ! Sans rire, c’est toujours un plaisir d’aller travailler.
Elle aime
Le dessin, le ski, la danse, les afterworks, manger (il ne faut surtout pas l’oublier celui-là), et tellement d’autres choses que ce serait trop long de les écrire ici.
Elle n'aime pas
La mauvaise ambiance, les gens qui dépassent dans les files d’attente, l’huile de truffe, les appels en haut-parleur dans les lieux publics, et last but not least : la COVID19, of course…